A la demande de Didier Francfort, les membres présents se sont appuyés sur le « programme provisoire avancé » qui leur avait été envoyé pour y apporter les précisions et les modifications qu’ils souhaitaient.
Celles-ci sont les suivantes :

1) Si la conférence inaugurale du mercredi, les conférences du vendredi et les tables rondes du samedi seront bien ouvertes au grand public, les 16 ateliers du vendredi (8 le matin, 8 l’après-midi) resteront réservés aux seuls membres de l’APHG qui s’y inscriront au début de chaque demi-journée.

2) Les ateliers se dérouleront sur une durée de 50 minutes (échanges compris avec la salle) tandis que le temps de parole des conférenciers sera fixé à 40 minutes (5 à 10 minutes d’échanges avec la salle pourront cependant suivre). Ateliers et conférences se déroulant dans un espace où les salles sont très proches les unes des autres (au 2ème étage du Centre Schuman), il s’agira de permettre aux participants de pouvoir facilement souffler entre deux séances (en buvant notamment un café).

3) Pour permettre une meilleure représentation de la géographie (mais pas seulement), il a été décidé de faire passer le nombre des conférences de 12 à 16. Cela signifie, qu’il y aura, matin comme après-midi, quatre conférences en parallèle sur deux créneaux horaires successifs (10h-12h / 14h30-16h30). Le comité d’organisation (à savoir le bureau régional de l’APHG) demandera aux congressistes de l’APHG (qui se seront obligatoirement inscrits au préalable) de choisir par ordre de préférence un certain nombre de conférences, et il les distribuera entre celles-ci au fur et à mesure de l’arrivée des inscriptions, notre volonté étant que tous les conférenciers aient à peu près le même nombre de personnes devant eux. Idem pour les quatre premières tables rondes du samedi matin. Idem pour les ateliers où le nombre des inscriptions sera limité. On peut aussi appliquer ce système au grand public (ne serait-ce que pour des questions de sécurité) à qui on pourrait demander de s’inscrire via le site internet de nos Agoras (agoras2019.fr).

4) Les tables rondes du samedi matin dureront chacune 1h20. Il est préconisé que le nombre de leurs intervenants ne dépassent pas 5 personnes par table ronde, 3 ou 4 semblant le bon chiffre. Les quatre premières se dérouleront deux par deux en parallèle sur les créneaux 8h45-10h05 et 10h15-11h35. La dernière (11h40-13h) consacrée à l’enseignement franco-allemand de l’histoire et organisée par le bureau national de l’APHG, conclura les Agoras. Les deux salles des tables rondes précédentes seront alors réunies en une seule pour permettre d’accueillir l’ensemble des participants à nos journées.

5) Si le privilège de conclure les Agoras reviendra à l’histoire, celui donné à la géographie de les ouvrir sera renforcé puisque le conseil scientifique a décidé de faire précéder la conférence inaugurale de Jacques Lévy par une brève présentation de l’UniGR-Center of Borders Studies, réseau thématique qui relie, depuis décembre 2014, 6 universités de notre Grande région travaillant sur les espaces frontaliers (Universités de Liège, de Luxembourg, de Trèves, de Kaiserslautern, de la Sarre et de Lorraine). Il s’agira ainsi d’inscrire nos journées dans une démarche européenne et de contribuer à faire de l’Europe une réalité concrète et vivante pendant toute leur durée.

Avant que Didier Francfort ne close la réunion, Franck Schwab informe les membres présents que le programme définitif des Agoras sera publié dans le numéro de rentrée d’Historiens & Géographes (à paraître en octobre ou en novembre). Il sera également mis en ligne dès la fin du mois de septembre sur le site national de l’APHG (aphg.fr) et sur le site de sa Régionale de Lorraine (agoras2019.fr). D’autre part, une affiche et un flyer de la manifestation sont en cours de préparation et seront disponibles dans le courant du mois d’octobre.

Pour le conseil scientifique,
son secrétaire, Franck Schwab